Comme l'indique le [rapport 2019 du Rapporteur spécial des Nations Unies David Kaye](https://daccess-ods.un.org/access.nsf/Get?Open&DS=A/HRC/41/35&Lang=F), la surveillance des individus – souvent des journalistes, des activistes, des opposants, des critiques et d'autres exerçant leur droit à la liberté d'expression – prospère en raison de la faiblesse des contrôles sur les exportations et des transferts de technologies de surveillance aux gouvernements répressifs. Cette surveillance est connue pour conduire à des détentions arbitraires, quelquefois à de la torture et à de possibles meurtres extrajudiciaires.